• Certains élèves décident de devenir Praticiens Professionnels Reiki. Le troisième degré n'est pas nécessaire, le fait d'avoir au moins atteint le deuxième degré est bénéfique, car votre expérience avec l'énergie améliorera vos traitements.

    Il est sage de commencer à petite échelle, combinant votre pratique professionnelle avec un emploi régulier. Vous vous constituerez ainsi peu à peu une clientèle et découvrirez en même temps si vous aimez pratiquer le Reiki à temps plein.

    Si vous envisagez de gagner votre vie en tant que Praticien Professionnel Reiki, vous devriez accumulé un minimum de 70 heures d'expériences sur une période de 6 mois. Par ailleurs, il est important que vous ayez pu expérimenter et traiter un large panel d'affections et de trouble, à la fois physiques et psychiques. Le fait de soigner c'est-à-dire de prendre soin la personne est très important. Il est important de dire que le Reiki ne guérit pas mais aide la personne à se relaxer, à être calme..., pour mettre en place un processus d'auto-guérison.

    La journée type d'un praticien Professionnel de Reiki commence par les séances qui prennent environ entre 5 heures à 6 heures par jour, elle se complète par des prises de notes, d'écriture, de lecture.... Il peut faire parti de groupe de travail sur le Reiki afin de réfléchir sur les protocoles, sur l’éthique, la philosophie ....

    Il existe depuis fin 2010 le métier de praticien Reiki, qui fait l'objet d'une description dans le répertoire officiel des métiers à pôle emplois (Rome, fiche K1103, domaine du bien-être et du développement personnel). L'objectif serait que ceux qui souhaitent devenir professionnels puissent compléter leurs connaissances des seules techniques de Reiki avec des bases de psychologie, de communications, de gestions et de comptabilités, d'anatomies et de physiologies ainsi que de la législation des métiers de bien-être. Il faudrait faire une analyse et une supervision.

    Il faut cependant pouvoir prendre le temps de se faire connaître et choisir judicieusement l'emplacement de son cabinet.

    Les certifications de reiki (1er,2e et 3e degré et la maîtrise) n'est pas un diplôme reconnu par la formation pour adulte. Cette dernière est considéré comme non imputable et donc non financer par les organismes de formations professionnelles pour adulte. On considère généralement qu’il faut être initié au niveau 2e degré Reiki pour se déclarer praticien reiki, mais ce n’est qu’un usage du milieu reiki. D’un point de vue de la loi, un praticien reiki est seulement tenu de ne pas rentrer dans le cadre de l’exercice illégal de la médecine. De ce fait un praticien reiki ne doit pas faire de diagnostique (à vrai dire le reiki n’est pas fait pour cela) et doit toujours rediriger une personne qui semble en avoir besoin vers un professionnel de la santé.

    Il y a une vingtaine d'années les cabinets d'ostéopathe étaient rares. Aujourd'hui ils sont nombreux. Je suis persuadé que dans quelques temps les praticiens Reiki auront la même notoriété et une utilité reconnue dans une vraie médecine complémentaire.

     

     

     

     

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  • Le nettoyage du corps est très important dans une séance de Reiki. Il faut faire sortir la mauvaise énergie du receveur.

    Cela sort de différente manière :

    - le rire

    - les pleurs

    - la flatulence (gaz), le gargouillis

    - le bâillement

    - le rot

    - le nez qui coule

     

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  • La maladie s'est une désorganisation de l'énergie, à partir du moment que l'énergie se désorganise, elle se déséquilibre avec les condensations de Qi (chi) chez les chinois, le Prana chez les hindous, les condensations de sang en empêchant l'énergie vitale de circuler harmonieusement. 

    On oublie que l'homme est un tout, composé d'un corps et aussi d'un esprit. La personne est parfois réduit à son simple symptôme ou à l'organe malade. Pour traiter la maladie ou soigner un organe atteint, on s'appuie sur les médicaments et la technologie qui est essentielle mais il y a aussi des médecines complémentaires qui peuvent effectivement aider la personne à un mieux-être et un bien-être.

    La maladie est multifactorielle à cause de :

    - l'alimentation

    - la pollution environnementale

    - la pollution dans l'habitat

    - le stress

    -le déséquilibre de l'énergie

    - Les infections par les microbes

    - ....

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  • Je répondrai en trois points. La supervision du vécu professionnel est sous-tendue par une triangulaire qui se présente de la façon suivante : Premièrement, la mise en place d’un dispositif spécifique qui implique des réunions régulières. Deuxièmement, une méthodologie et un mode relationnel qui favorisent l’échange, la réflexion, la prise de conscience de ce qui se véhicule dans la relation « professionnel-client ». Et troisièmement, l’objectif est d’améliorer la pratique professionnelle, de soutenir un espace d’ouverture, de questionnements, de remise en cause des habitudes, d’évolution des compétences et de prévenir les dérives toujours possibles lorsque le praticien travaille de façon isolée. C’est toujours préoccupant lorsque les gestes, les protocoles, les valeurs et la légitimité ne sont plus interrogés.

    Ce que le praticien fait et dont il ne parle pas, par absence de lieux appropriés ou par défaut d’interlocuteurs compétents. De ce qu’il désire faire mais qu’il ne parvient pas à mettre en place. Cela touche alors le domaine des méconnaissances, des répétitions, ou simplement la conséquence d’une question mal posée. Il sera par exemple, évoqué ce qui « l’encombre, ce qui l’empêche, ce qui limite » sa démarche. Et le plus fréquent, ce qui est fait mais dont le praticien n’a pas conscience. Il est question alors d’un manque de discernement, de questionnement ou affaire d’habitudes et de facilités. Et ce sont les écarts grandissants avec l’efficacité, le positionnement, le professionnalisme qui sont alors pointés.

    Ni contrôle, ni examen ! Il s’agit d’engager et de soutenir un questionnement mené par le praticien lui-même afin qu’il puisse poursuivre la construction de son expérience à partir de son vécu et des compréhensions de celui-ci. La supervision est un « espace organisé » pour entendre et accueillir le vécu des praticiens. C’est aussi un dispositif qui rend possible la recherche de compréhension des raisons d’un dysfonctionnement, d’une contre-attitude, d’un transfert ou d’un contre-transfert. C’est un lieu de réflexion et d’élaboration de nouvelles perspectives afin de surmonter un vécu inhibant. 

    Oui et elle devrait faire partie d’un parcours de formation et post-formation. Il ne s’agit pas de décrypter et de verbaliser un vécu professionnel. Aussi intéressante soit-elle, cette démarche serait limitée dans ses effets si l’objectif de compréhension de ce qui s’est passé dans une séance, échangé ou confronté avec un client par exemple, n’amenait pas une prise de conscience avec pour conséquence, une modification dans l’action et la pratique. Il est question de devenir « auteur de ses pratiques ». L’autonomie, la responsabilisation, l’éthique, l’élaboration d’une relation adulte-adulte avec le client, inscrit le praticien dans une dynamique d’activités et d’actions pédagogiques. La professionnalisation ne peut se passer d’une compréhension de la pratique au fur et à mesure que celle-ci s’exprime et se vit. C’est un état d’esprit,

    « un état d’être » qui s’acquiert et qui œuvre sur ce qui est de l’ordre du modifiable et de l’évolutif. Plus tôt dans la formation cette dynamique est proposée, mieux elle s’installe au cœur de l’identité même du praticien. Cette pratique réflexive améliore l’acte professionnel. La qualité de la relation établie avec le bénéficiaire des prestations assure une cohérence entre formation, pratique professionnelle et éthique.

    En effet, la supervision du vécu professionnel participe progressivement à la construction identitaire des praticiens, à l’appropriation des process liés à la relation d’accompagnement, à l’étayage relationnel nécessaire dans le lien à l’autre. Elle favorise l’épanouissement personnel au sein même de l’activité professionnelle. Le superviseur accompagne le supervisé dans sa réflexion afin qu’il explore et analyse au mieux son expérience et qu’il en tire le meilleur profit, sachant que le premier bénéficiaire de cette démarche est le client.  Outre la demande « de formation continue sur-mesure » à laquelle la supervision peut prétendre, elle consolide une confiance, une estime de soi de qualité. 

    A la fin d’une formation, certains stagiaires sont encore hésitants, ne s’identifiant pas comme des professionnels. La difficulté à se positionner engendre alors bien des hésitations, des doutes, des maladresses et des découragements.

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  • Au Japon, le chemin de Reik est considéré comme un art de vivre qui se déroule à travers les années, jusqu'à la fin de la vie d'une personne. Il arrivait qu'un étudiant au Japon n'obtenait le deuxième degré de Reiki qu'après dix ou vingt ans de pratique. Et la majorité des étudiants n'atteignait jamais les hauts niveaux (c'est-à-dire le 3e degré et la Maîtrise). Ils étaient et restaient des étudiants.

    En occident, le Reiki a pris une direction qui correspond plus à notre culture. Les gens se rencontrent un week-end pour apprendre le Reiki. Souvent, il n'ont pas assez de temps pour apprendre à écouter leur corps, leurs mains, et leur intuition. Bien que cela soit dommage, il est tout simplement impossible pour beaucoup d'étudiants de Reiki occidentaux et pour les enseignants, de rentrer en contact avec cette énergie d'une autre manière. La vie "sur la voie rapide" de la civilisation occidentale - j'inclus également le mode de vie japonais moderne - se déroule à grande vitesse. Beaucoup d'entre nous n'avons plus assez de temps et voulons avoir immédiatement ce quoi nous avons jeté notre dévolu.

    Je ne suggère pas que nous devrions faire marche arrière dans le temps. Nous devons faire face aux demandes du présent. 

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